Jean-Charles Ope dit Jack

Présentation du jour IRL:


Nom:
Prénom:
Âge:
Sexe:
Mangas préférés:
Ce qui t'as poussé à venir/comment tu as trouvé le forum:
Le personnage que tu préfère dans One Piece:
tes expériences en RP/JDR:
Autres:
(Les informations IRL sont facultatives, mais merci de mettre les sections dans votre présentation, même vide, pour prouver que vous avez bien lu les règles.)

Présentation du personnage:


Nom et prénom, voir surnom: Jean-Charles Ope surnommé Jack

Âge: Environ 20 ans

Race (humain, homme poisson, ange, géant, cyborg...): Humain

Faction:

Psychologie (Bon/mauvais/neutre ou chaotique/loyal...): Bon

Métier/spécialité, optionnel: Pirate

Pouvoir demandé (FDD/sabre d'exception/Rokushiki...): Aucun

But de la vie du personnage: Devenir capitaine et trouver One Piece

Description physique : Jean-Charles Ope est un jeune homme de vingt ans aux corps musclé et recouvert de cicatrices d'un passé douloureux. Il n'est pas maigre ni gros et mesure environ un mètre soixante-dix. Ses capacités sont à environs 95 % des limites humaines. Ses cheveux sont bruns et longs, allant jusqu'aux épaules. Ses yeux sont vifs et noirs eux-aussi, donnant l'impression à celui qui les regardes que Jack est bon avec les bons et sans pitié avec les mauvais. Il ne possède pas de barbe mais si on s'approche et qu'on regarde bien, on peut apercevoir de tout petits poils. Son torse et bombé et recouvert d'une large cicatrice, son dos en contient plusieurs. On trouve peu de cicatrices sur ses jambes, une au genou gauche et d'autres à la cheville. Il est habillé d'un bandeau noir porté en bandana sur sa tête, ceci sous un tricorne en feutre noir ornementé d'une magnifique plume blanche. Il porte aussi une veste de marin rouge faite en tissu de laine résistant, idéal pour le gros temps, sur une chemise blanche, et un pantalon de toile beige. Ses chaussures sont des souliers à boucle de couleur marron. Il est armé d'un sabre et d'un pistolet chargé d'une seule balle. Dans la poche de sa veste se trouve une petite boite en bois contenant cinq autres balles. Malgré la rouille et les marques du temps sur l'arme à feu, récupérée sur un cadavre, elle marche très bien. Un sac fait de tissus est accroché à sa ceinture, il s'agit du fruit du démon de son chef, signe du lien unissant les deux personnages, même si ils ignorent quel pouvoir renferme ce fruit.


Description mentale : Jean-Charles Ope est un pirate exemplaire. Il connaît le Code des Pirates par coeur et le respecte scrupuleusement comme son ancien capitaine. Déterminé à remplir sa mission quand il en as une, il se fait facilement passer pour un petit effronté sans cervelle. Or ce petit pirate est un fin stratège et invente des plans pour contourner l'adversité. Très forts aussi, il préfère avant tout à sa mission et prépare alors un plan quasi-imparable à l'avance. Généreux et bon, il se lie facilement d'amitié avec d'autres et sait être la confiance des autres. Le plus souvent, lorsque ses amis ont des problèmes, Jack est souvent le premier à tenter de les sauver. Sa volonté de devenir le plus fort et le plus bon des pirates ne le quitte jamais et rien que d'y penser, il a la pêche pour la journée. Gros amateur de nourriture, il ne pense qu'à manger lorsque son estomac le rappelle à l'ordre, sinon, il s'en fout. S'il se montre gentils envers les pirates, ils se montre cruel voir sans pitié pour la police et ses pirates ennemis. Malgré ses grands airs, Jean-Charles Ope dit Jack est très adroit. Il n'y a qu'aux assauts ou plans préparés qu'il assure comme pirate adroit, sinon la plupart du temps, il enchaîne les cascades incroyables sans le vouloir et se retrouve comme étant la risée de tous les pirates de ce monde. Il ne croit en aucun Dieu a même tendance à mépriser les fanatiques qui vouent leur vie entière au culte de leur religion. Ses passions sont le combat au corps-à-corps où il excelle dans ce domaine et la vie à bord d'un bateau car chaque jour, il se voit confronté à des difficultés plus ou moins dangereuses.

Histoire : Dans une taverne appréciée par les clients pirates où se mêlent l'odeur de la bière et celle de la race humaine qui ne s'est pas lavé depuis longtemps. Sur les tables, les hommes jouent au poker en sirotant un bon verre d'alcool, certaines disputes éclatent violemment, bref, la journée reste monotone même si dehors la pluie commence à inonder les sols. Seule une personne reste solitaire, assise à la table situé en bordure de la salle. C'est un vieil homme de soixante ans avec deux pieds dans la tombe. Obligé d'utiliser une canne pour se déplacer, il préfère se limiter et se rendre à la taverne rencontrer les gens. Or ce jour, il a croisé quelqu'un qui n'est pas resté très longtemps a discuter. Encore bouleversé par la discussion, le vieil homme se plonge dans ses pensées et oublie totalement les gens situés tout autour de lui. Il se remet dans sa tête l'intégralité de la conversation avec ce pirate à l'histoire passionnante dont le dénouement n'est pas encore arrivé. Si les souvenirs du vieux sont exact, le jeune pirate s'appelle Jean-Charles Ope, surnommé Jack.

Jean-Charles Ope est un fils issu d'une riche famille. Entouré de serviteurs à ses ordres, il deviens pourri-gâté et vit comme un prince jusqu'à ses dix ans. Ce jour-là, sa demeure familiale est victime de cruels pyromanes. Jean-Charles, en voulant faire pipi la nuit, réussit à survivre et quitter la demeure avant qu'elle ne s'écroule. Ayant vu le visage d'un des pyromanes, il se retrouve très vite traqué par les malfaiteurs. Il s'enfuit dans la forêt et va y rester en captivité quelques mois. Il apprends à se débrouiller pour survivre et décide de rentrer chez lui, une fois sûr que les ravisseurs sont bel et bien partis. De retour chez lui, il apprends la mort de toute sa famille. La police a quand même réussit à découvrir l'identité des criminels. Sans le sou, Jean-Charles décide de partir à leur recherche. Il se fait engager comme moussaillon à bord du navire pirate "le Adamle". Pendant quelques années, il sert le bon capitaine et je jour où il apprends où se trouve les malfaiteurs, Jean-Charles abandonne la navigation. Pourtant, ses années avec les pirates lui ont été plutôt bonnes. En effet, il connaît maintenant toutes les bases de combats à mains nues ainsi qu'avec n'importe qu'elle arme. C'est à ce moment-là qu'il apprends toutes les techniques d'escrime et commence à utiliser le sabre, le bâton ou le fleuret comme un bon sportif. Armé d'un simple bout de bois de la taille d'un manche à balai, il pénètre dans le repaire du meurtrier de ses parents, mais ce dernier n'y est pas. La rumeur court comme quoi il serait torturé puis tué par d'autres pirates lors d'un règlement de comptes. N'ayant plus aucun but dans sa vie, il commence à picoler dans les bars et deviens un gros ivrogne. Arrêté par la police et emprisonné, il y reste pendant un long moment pour avoir trop bu. Lorsqu'il s'en sort, il découvre la méchanceté des policiers: on le dépouille de tout sauf ses vêtements et il est ensuite jeté dans la nature. Il se rends compte que l'heure de se trouver un travail a sonné, il n'a même plus de quoi s'acheter un maigre bout de pain vieux et usé.
La vie pirate semble l'intéresser et il commence à chercher si quelqu'un accepterais son aide. Finalement, il est accepté au bord du "Costa Marica". Son capitaine est un pirate respectant scrupuleusement le Code des Pirates. C'est un homme plutôt agé portant une longue barbe grise, un chapeau et une longue robe noire.
Jean-Charles affectionne beaucoup cet homme et va découvrir que la vie du pirate n'est pas que piller et voler. Très vite, il deviens un modèle pour tous et monte rapidement en grade, ceci éveillant la jalousie des autres. Jean-Charles Ope et son capitaine sont très vite victimes d'une mutinerie. Séquestrés à bord du Costa Marica, ils finissent par être abandonnés sur une île. Le capitaine tiendras peut de temps, il est bien trop vieux pour que son corps puisse sauter des repas, Jean-Charles promet alors de le venger un jour. Avant de mourir, le capitaine lui donne ce qu'il a de plus précieux: un fruit du démon. Le capitaine ne veut pas le manger, sa réputation de goût infect le terrorise. Jean-Charles le garde précieusement comme symbole de lien entre eux. Une fois après avoir enterré le capitaine, Jean-Charles décide de chercher une ville proche d'ici. Ce n'est qu'après plusieurs jours de marche en buvant de l'eau de pluie et mangeant des vers-de-terre qu'il atteint enfin un port. Il mendie aux quais pendant un long moment. Il utilise l'argent amassé pour s'acheter ses habits et une épée. Il choisit comme surnom Jack, mieux que Jean-Charles Ope et choisit de chercher le moyen de devenir capitaine à son tour. Pour cela, il se fabrique avec ce qu'il peut un moyen de transport, en partant par un canot. Il parcourt le monde à bord d'une barque-voile improvisé bateau qui parcourt le monde entier à la recherche du moyen pour devenir capitaine. C''est après toute ces années de dur labeur que Jean-Charles Ope, le fils de riche famille qui ne savait même pas se brosser les dents seul qu'il est devenu Jack, un pirate honnête qui ne vit que pour l'aventure et le rêve de devenir un jour le pirate le plus bon de ce monde. Bien des efforts ont dût être effectués mais le résultat est remarquable et sa vie a enfin un sens: celui de la marine.

Son bateau qui n'est qu'une barque-voile improvisée

Soudain, l'aubergiste hurle qu'elle va devoir fermer la boutique. Tous les joueurs soupirent longuement puis l'un après l'autre, ils quittent la pièce faiblement éclairée. Le vieux loup de mer se tire de ses pensées et regarde autour de lui. Tout le monde est parti sauf lui et la patronne. Confus et poli, il se lève le plus vite qu'il peut malgré ses rhumatismes et quitte la salle. En chemin vers son domicile, il se rappelle que Jean-Charles Ope lui a montré ce fruit du démon, qui est le Bara Bara no Mi ou Fruit de la Fragmentation : Il permet de séparer chaque partie de son corps et de les faire voler. Seuls les pieds ne peuvent pas voler.

Un exemple de RP, pour connaître la qualité des votre:

[J'incarne un voleur illusionniste qui a été retrouvé mort, criblé de balles et de coups de couteau. Nous nous trouvons dans le futur où le monde à été victime d'une terrible guerre nucléaire mondiale aux dégâts inimaginables]

Une nouvelle nuit lente et froide s’abat sur Londres. La vieille cité est l’une des rares villes à avoir certains grands édifices encore debout et en assez bon état, tel que le célèbre Big Ben. Malgré cela, le moral des anglais est au plus bas. Chacun a perdu au minimum trois membres de sa famille et les malheurs ne font que pleuvoir chaque jour. La politique à désertée, la loyauté a été définitivement éradiquée avec la mort du Roi Henri ainsi que toute la famille royale lors de l’effondrement de Buckingham Palace. Ce lieu très réputé n’est plus qu’un immense tas de gravas. Certains fanatiques n’hésitent pas à perdre leurs journées à fouiller les décombres pour voler des objets de valeurs ou des cadavres de la famille afin d’en faire des reliques à un prix exorbitant. Ceux qui ne cherchent pas à s’enrichir exécutent simplement leur travail normalement ou restent chez eux, questionnant Dieu sur l’Apocalypse. Plusieurs affrontements ont d’ailleurs eu lieu un peu partout dans la capitale opposant les chrétiens, les musulmans, les juifs ainsi que les athées, chacun accuse l’autre d’avoir provoqué cette catastrophe en choisissant la mauvaise religion, la peur les aidant à révéler cette violence insoutenable. Ce sont ces actes barbares qui montrent bien la panique générale créée depuis que ce malheur est tombé sur le monde. En France encore, les habitants préfèrent rester chez eux, enfermés à clefs, sans bouger. En Angleterre, tout le monde tente de se sauver ou trouver un abri sûr, mais vu qu’il y en a pas… La panique s’installe auprès de tous les survivants et chaque jour le nombre de suicide augmente de façon affolante. Les pompiers tentent tant bien que mal à éteindre tous les incendies mais le défi est de taille. Le peu d’effectif doit faire face à plusieurs dizaines d’immeubles qui brûlent lentement sans arrêts. Un quart des londoniens se retrouve sans foyer et se voit obliger de dormir dans les rues, comme un vulgaire alcoolique qui as trop bu. Les églises sont toutes détruites et les prêtres sont morts, du coup les chrétiens ne savent plus où aller pour la messe le dimanche. Avec la catastrophe d’ampleur mondiale, l’usage tu temps est très vite oublié. Rares sont ceux qui se souviennent encore quel jour on est aujourd’hui, de même pour l’heure. Maintenant, on ne se couche et se lève qu’à la tombée du Soleil et qu’à sa levée. Du coup, l’été est la période où l’on travaille plus qu’en hiver. La santé et l’hygiène londonienne est tombée au plus bas, tous croient que si l’apocalypse ne les a pas tués, ils mourront de toutes façons avec cette crise dans tous les domaines. La fin du monde est proche, et cette fin à un nom tragique faisant pleurer celui qui le prononce : Armageddon. Selon certains habitués de Londres, le Diable s’opposant à Dieu, aurait tenté de supprimer la Terre. Pour contrer cela, le Tout-Puissant se serait sacrifié pour sauver le Monde. Pendant que certains imaginent que le Diable à gagné la bataille et s’apprête à tuer un à un tous les hommes, d’autres pensent que Dieu à gagné mais le Monde a été du Diable. Du coup, tous les chrétiens ont augmentés le temps et le nombre de prières par jours. Une nouvelle bonne pour certains et mauvaise pour d’autres. En effet, Soda Bleuford, le hacker à la renommée mondiale est mort. Le fait que sa silhouette n’apparaisse plus sur les toits de Paris et le fait que quelques témoins parisiens on dit avoir vu le chevalier blanc se faire descendre il n’y a pas si longtemps. Cela a aidé à remonter le moral des victimes de l’Apocalypse, mais la peur de la mort et le sentiment que l’on va mourir dans d’atroces souffrances reste quand même blottit au fond de leur cœur. Les rares moines encore en vie hurlent dans les rues avec panique et tragique que le Jugement Dernier aura lieu dans moins de temps qu’on ne le pense. Pendant que certains exécutent à la hâte toutes leurs actions pour aller au Paradis, d’autres réalisent leurs vœux les plus chères. C’est en plus avec l’absence de police que l’Angleterre est un des pays les plus touchés par l’augmentation de viol de jeunes filles dans les rues. Maintenant, à chaque coin de rue, on peut apercevoir le corps nus et sans vie d’une jeune femme violée puis démembrée vivante comme une vulgaire poupée Barbie. Le nombre de vol a lui aussi énormément augmenté, plus personne n’ose sortir seul dans les rues. Tous croient que la fin du monde est proche, et il est très facile de trouver un bouc-émissaire dans le coin. Une trentaine de noirs, de français ou même d’américains sont pendus, soit disant créateurs de l’Apocalypse. Une dizaine de plus a été pendue lorsqu’une épidémie touche la pauvre capitale. Encore présente, le nombre de morts par le choléra et quelques-uns par la peste ne cesse d’accroître au fil des journées. Les cimetières sont victimes de la surpopulation, on ne peut plus enterrer qui que ce soit. On trouve alors dans les coins de natures des tombes érigées avec un gros bloc de béton sur lequel on à écrit au marqueur le nom et prénom de la personne décédée. Certaines ont même la profession et la date de naissance et de mort inscrite en dessous. Mais le pire est à venir, en effet, malgré tout cela, le pire ne peut être que le désordre. Plus aucune pharmacie ne fonctionne, de même pour les magasins, charcutiers, boulangers et autre. Pour gagner son pain, il faut le fabriquer mais avec quel argent et quels outils ? Ceux qui ont eu la chance d’en fabriquer n’ont droit qu’à un morceau miteux, sale et puant dont le goût infect ressemble plus à du vomi qu’à du pain. Tous sont victimes de la malnutrition ainsi que la sous-nutrition. Environ une personne meurt de faim toutes les heures, à ce train-là, Londres sera une ville fantôme dans un mois ou deux. La violence est source du quotidien et le nombre de vol augmente lui aussi dangereusement. Une mère a préférée tuer ses deux bébés en les enfermant dans un frigo plutôt que de les exposer à ce monde cruel et sans pitié, cette histoire est la polémique du moment. Certains trouvent inadmissible qu’une femme puisse congeler ses enfants alors que d’autres la soutienne pour la soulager du choc qu’elle a subit en commettant l’acte. En conclusion, la majorité a gagné, elle est brulée vive sur un bucher géant, comme pour les sorcières du temps du Moyen-âge, une période dont on ne sait pratiquement rien. La vie vaut-elle la peine d’être vécue ? C’est la question que tous les londoniens se posent, faisant leur terreur et leur crainte. Certains savent qu’ils mourront d’ici peu, d’autres espèrent qu’un miracle se produise dans pas longtemps. C’est sûrement grâce à cela qu’ils ne se suicident pas encore. Ce matin, le ciel a été bleu pour la première fois depuis la grande tragédie, remontant à peine le moral de chaque citoyen, leur donnant une maigre lueur d’espoir au fond de la pupille de leurs yeux. Ainsi, la journée est la plus radieuse de l’année et elle ne se termine pas lors de la venue de la nuit.


Ainsi donc, la nuit s’est abattue sur Londres, activant l’éclairage public pas trop endommagé. Le Big Ben est le monument le mieux éclairé et peut être vus parfaitement comme en plein jour. Jean est un vieil homme qui a passé sa vie entière aux services de la Famille Royale au Palais des Buckingham. Cette dernière n’étant plus de ce monde, il erre dans la capitale sans savoir vraiment ce qu’il fait. Perdu, il visite et inspecte l’étendue des dégâts à chaque coin de rue. Il est profondément triste en voyant ce qu’est devenu ce pays qu’il chérissait du mieux qu’il pouvait. Il ne peut s’empêcher de sécher une larme, puis deux, puis trois… C’est très vite un torrent de tristesse qui s’échappe de ses yeux, impossible de le stopper. Même le mouchoir ne peut rien faire malgré tous ses efforts. Au bout de quelques minutes, il cesse de pleurer malgré sa forte envie d’hurler sa rage au monde entier. Qu’a-t-il fait pour mériter cela ? Il cherche la réponse au plus profond de son âme ne voit rien qui pourrait expliquer sa punition. Il se demande même si Dieu ne serait pas si gentil que l’on croit, mais il efface tout de suite sa pensée, de peur qu’Il se fâche. Il est tellement absorbé dans ses pensées qu’il se perd facilement et se retrouve dans l’un des quartiers malfamés. De peur d’être dévalisé voir même tué, il augmente sa vitesse de marche, referme son manteau sombre jusqu’en haut et monte le col. Il se repère grâce à la luminosité du géant Big Ben et se dirige vers ce monument. Une fois devant, il remarque qu’une foule de monde s’est rassemblée devant. Il questionne les personne et obtiens une réponse assez curieuse : un évènement aurait lieu à cet endroits précis mais quoi, telle est la question. Du coup, dans l’espoir qu’un protecteur puisse apparaître, tout Londres s’est mobilisé. Un couple généreux propose à Jean de manger avec eux leur nourriture en ouvrant en grand un panier contenant du pain, du fromage ainsi que du lait non radioactif. Jean avale avec faim les mets et une fois repu, se pose sur le sol et admire le ciel étoilé. Les époux font exactement la même chose que lui et discutent. Jean apprends qu’ils étaient de très bons professeurs, l’un en français, l’autre en mathématiques. Ils ont abandonnés leur travail car lors de l’apocalypse, six de leurs élèves sont morts. En évoquant ce passé non lointain et douloureux, la femme ne peut se retenir quelques larmes en s’accrochant à l’épaule de son maris. Jean ne comprend que très bien l’attitude de ses interlocuteurs et préfère ne rien dire en faisant une mine voulant exprimer sa compassion envers eux. Soudain, un bruit d’explosion interpelle toutes les discussions et les têtes se tournent en direction du bruit, vers le Big Ben. Jean regarde sa vieille montre rouillée : vingt-trois heures cinquante-neuf. A minuit pile, une seconde explosion, visible cette fois, produit un grand bruit et un panache de fumée de quelques mètres s’élèvent depuis le haut de la tour. Lorsque la fumée se dissipe, Soda Bleuford apparait dans sa tenue blanche classique, les bras croisés avec un vol de six ou sept pigeons. Tous sont paralysés de stupeur et ne comprennent plus rien. Jean se lève violemment et fixe attentivement le nouvel arrivant. Il n’en croit pas ses yeux, le chevalier blanc se tient devant tous alors qu’il est sensé être mort. Soudain, l’étrange visiteur met en bras en l’air puis l’autre en hurlant à tous :


LADIES AND GENTLEMAN!


Et devant Londres, il s’avance jusqu’au bord du Big Ben et au lieu de tomber, il continue à avancer dans le vide. Miracle ! Tous le monde est saisi de stupeur et n’ose rien dire. Lorsque Soda arrive enfin au-dessus de la foule, il les regarde en baissant énormément le cou et ressemble à un Dieu faisant son apparition miraculeuse. Il met une main dans sa poche et en sort un drôle d’objet à la forme ronde. Soudain, ce dernier explose et laisse échapper un panache de fumée. Lorsqu’elle disparaît, le hacker a lui aussi disparu. Tout le monde s’interroge et Jean ne sait plus quoi dire : doit-il l’annoncer au monde ou laisser cela à d’autres ? L’annonce que le grandiose chevalier illusionniste renaît de ses cendres est si brutale qu’elle perturbe toute la population. Certains crient à tue-tête que c’est l’annonce de leur mort prochaine, d’autre pensent que son apparition est un moyen de leur redonner confiance et courage. Après de longues discussions sur le débat, petit à petit, les londoniens retournent chez eux. Le couple propose à Jean de dormir chez eux, ce dernier n’ayant pas de domicile pour l’instant. Il accepte bien volontiers et part en même temps qu’eux. Une fois dans l’appartement au second étage, Jean se couche sur le deuxième lit avec un pyjama emprunté et fixe Londres depuis la fenêtre de sa chambre nouvelle. Il se pose sans arrêt des questions sur Soda. Est-il si mauvais que ça ? Fatigué, éreinté, il se jette sur le matelas douillet et enfile la maigre couverture autour de son corps.


Le lendemain matin, lorsque Jean se réveille, le professeur rentre chez lui. Il est parti vers huit heures du matin afin de connaître les potins du moment vu que les médias ne fonctionnent plus. Ce dernier raconte devant un maigre déjeuner le récit de ce qu’il a vu et entendu :


Soda Bleuford est réellement revenu d’entre-les morts mais on ignore totalement comment. Les rumeurs circulent mais toutes sont fausses je crois. Un homme qui affirme avoir vu le corps sans vie du hacker a eu des convulsions tard dans la nuit en voyant le ressuscité apparaître. Je crois les religions elles-mêmes sont perdues. Après tout, Soda a produit un miracle or c’est un criminel, l’Eglise ne sait pas si elle doit le nommer au grade de Saint ou pas.


Perdu après la narration de ce bilan, Jean reste la bouche grande ouverte en fixant bêtement le Big Ben comme si le chevalier pourrait soudain réapparaître. Quelques temps après, le retour de Soda Bleuford se trouve encore dans toutes les bouches Londoniennes, c’est devenu le sujet du moment et cela risque de durer. Le seul regret de Jean, se serait que l’évènement qu’y a eut-lieu à minuit ne provoque rien de mauvais au cœur de chaque être humain. C’est vrai quoi, l’enfer causé par l’apocalypse est déjà assez rude. Sur ces mots, Jean dit adieu au jeune couple, et repart dans son errance habituelle dans les rues de Londres.

170 mots en description physique : Il t'en manque 80
Seulement 60 en description mentale => Il t'en manque près de 200
230 mots d'histoire => Il t'en manque 450
Il faut donc que tu rallonge significativement tes descriptions, et ton histoire, pour cela je peux te donner quelques conseils:

Pour la description physique : Commence par sa silhouette, comment on le voit de loin. Ensuite, décris dans les moindre détails son visage, et son corps de même. Ajoute sa façon de parler, de marcher, ses mimiques... Tout ses défauts en feront un personnage unique.

Pour la description mentale: Commence par la façon de voir le monde de ton personnage, ce qu'il pense en voyant telle ou telle chose... Ensuite, donne ses réactions face à quelqu'un, ce qui pourrait le mettre en colère, ou au contraire le rendre joyeux. Décrit ses goûts... Y'a tant de choses à dire!

Pour l'histoire : Commence par sa naissance. Même s'il ne se souvient pas, raconte nous tout ça, histoire qu'on sache par quoi ton perso est passé, ce qui l'a rendu fort, où il s'est entraîné et quand... Une fois encore, tu peux largement développer, c'est long une vie!

Pour ton pouvoir : Ca n'en est pas vraiment un, ce n'est pas attaché à un fruit du démon ni à un sabre d'exception... Tu peux demander un Zoan peut-être, ça serait intéressant pour ton perso... Ou alors une arme d'exception, au choix... Mais décris bien ses pouvoirs

j'ai dit que je l'ai pas fini

La description mentale et l'histoire sont un peu courte, surtout si tu demande un fruit du démon. En ayant le minimum, tu peux pas prétendre à un rang 1 et t'es en dessous... Rallonge un peu et on verra. Sinon, le personnage est intéressant, et original... (Si tu avais écouté mes conseils plus tôt, j'aurai pas besoin de dire ça...)

Qui plus est, il y a un fail. Nous sommes sur la planète de One Piece, il n'y a jamais eu de grande Bretagne, donc ta famille ne peut être britannique.

Tu choisis quel fruit du démon tu transporte (un niveau 1 maximum) et tu as ma validation rang 1.1

Si tu souhaites un fruit de niveau 2, il va falloir doubler tes descriptions.

les tripler pour un niveau 3, et dans les deux cas doubler ton histoire.

sinon tu as ma validation niveau 1.1 . (en choisissant un fruit de niveau 1 bien sûr.)

Pour un niveau 3 faut bien plus que doubler... Tu le vois avec le Kage Kage en moins de 4000 mots d'histoire?

Et au fait => Essaye de te trouver un avatar potable, là...

Elya Paradise a écrit:

Pour un niveau 3 faut bien plus que doubler... Tu le vois avec le Kage Kage en moins de 4000 mots d'histoire?

Et au fait => Essaye de te trouver un avatar potable, là...

bah si c'est original, pourquoi pas... Mais évitons le flood massif ici; ce que je voulais dire c'est que 700 mots c'est le strict minimum

Âto a écrit:

Elya Paradise a écrit:

Pour un niveau 3 faut bien plus que doubler... Tu le vois avec le Kage Kage en moins de 4000 mots d'histoire?

Et au fait => Essaye de te trouver un avatar potable, là...

bah si c'est original, pourquoi pas... Mais évitons le flood massif ici; ce que je voulais dire c'est que 700 mots c'est le strict minimum

Ben quoi, ils y sont tes 700 mots

Me dis pas que t'as pas compris -__- ?

bon, j'ai jusqu'au niveau max de fruit du démon?

sachant que j'ai modifié ma fiche persos

Tu pense sérieusement qu'en ajoutant 2 paragraphes de RP à chacun des bouts de ton histoire tu va augmenter celle-ci? C'est limite du foutage de gueule... Toujours niveau 1 pour le fruit, ainsi que pour ta validation.

Elya Paradise a écrit:

Tu pense sérieusement qu'en ajoutant 2 paragraphes de RP à chacun des bouts de ton histoire tu va augmenter celle-ci? C'est limite du foutage de gueule... Toujours niveau 1 pour le fruit, ainsi que pour ta validation.

plus de mille mots pour l'histoire et juste le niveau 1, c'est un peu abusif

je fais des efforts pour faire une longue histoire et toi, t'en as rien a foutre

Edit by Âto: tu crois qu'on flood nos vies ici, en plus ? Si tu veux parler de ça, go chatbox mec, ou section flood (elle existera bientôt).

Tu rajoute 300 mots de RP pour l'histoire, c'est pas ce qu'on te demande... Tu nous décrit plus la vie, les bateaux si tu le souhaite, les émotions... Et là, t'aura peut-être une augmentation de rang. La, tes paragraphes de RP, j'en ai strictement rien à foutre.

Pis même si c'était la vie de ton personnage, quoi. les descriptions comptent aussi dedans. Faut faire des efforts, mais partout.

Seconde validation, tu peux commencer à RP